Dans sa livraison du jour, Enquête s’intéresse au Hajj 2024, en mettant en lumière les problèmes rencontrés par les pèlerins bloqués à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD). Selon Les Echos, des retards de vol et des passagers laissés à quai sont les principales causes de cette situation. Libération titre d’ailleurs : «Air Sénégal, une catastrophe nationale».
Face à cette crise, le ministre des Transports, El Malick Ndiaye, a tenté de dédouaner les nouvelles autorités dans les colonnes de Révélation. Il a précisé que 9 des 11 vols programmés ont déjà transporté 3500 pèlerins. Le ministre a rassuré le public en affirmant que la situation reviendra à la normale ce lundi.
El Malick Ndiaye a également souligné que des efforts sont en cours pour résoudre les problèmes logistiques et assurer que tous les pèlerins puissent atteindre leur destination sans autres retards. Les autorités sont en communication constante avec les compagnies aériennes pour minimiser les désagréments et améliorer l’organisation des vols.
Cette situation a néanmoins suscité des critiques quant à la gestion des vols et à la capacité d’Air Sénégal à répondre aux attentes des voyageurs, en particulier lors d’événements d’importance majeure comme le Hajj. Les pèlerins et leurs familles espèrent que les mesures prises par les autorités permettront d’éviter de tels incidents à l’avenir et d’assurer un voyage sans encombre pour tous les fidèles.
Auteur : Penda DIOP